Châteaux et cités fortifiés. Les apports des nouvelles connaissances à la notion d’authenticité
Que recouvre la notion d’authenticité selon les pays ? Quelle fonction attribuer aux anciennes forteresses militaires ? Faut-il restaurer les monuments ? Selon quelle(s) technique(s) et avec quels matériaux ? Entre interprétation, réinvention, cristallisation, reconstruction à l’identique… les points de vue et les partis pris divergent selon les cultures nationales, les sensibilités et les époques.
À travers des exemples issus du monde entier, depuis le Liban, jusqu’à l’Algérie en passant par la Grèce, le Japon ou la Corée, le présent colloque interroge cette notion complexe d’authenticité, appliquée ici au champ du patrimoine architectural, de la fortification et de la castellologie.
Organisé dans le cadre de la candidature au patrimoine mondial de l’Unesco de « la Cité de Carcassonne et ses châteaux sentinelles de montagne », l’événement présente les modèles de préservation mis en œuvre sur d’autres biens culturels. Il propose une lecture comparative des choix et des pratiques effectués sur des sites patrimoniaux d’exception, notamment à travers le prisme des règles internationales de l’authenticité.
Ouvrage collectif sous la présidence de Nicolas Faucherre, professeur d’histoire de l’art et d’archéologie médiévales, université d’Aix-Marseille (France), représentant du comité scientifique du colloque
Archéologie, Architecture et urbanisme, Beaux livres, Histoire, Histoire de l'art, Histoire et Patrimoine, Histoire régionale, Moyen Âge, Patrimoine industriel
Algérie, Carcassonne, cités fortifiées, Corée, Forteresses, France, Grèce, Guédelon, histoire de l'art, Japon, Liban, monuments, Patrimoine mondial de l'Unesco, restauration